

C'est avec l'immense honneur d'offrir un joli paquet de pognon à celui ou celle qui nous fera le plus rigoler que le Grand Prix de l'Histoire Drôle s'impose dans le contexte culturel ahurissant de l'année 2022 en France.
Son objectif est clair : récompenser le talent comique et le rire explosif, sans le moindre risque pour la sécurité, à l'époque des conflits armés et de la surchauffe climatique…
Le Grand Prix de l'Histoire Drôle vous propose :
* Frais d'inscription au concours : 10€
* Thème : l'histoire la plus drôle possible
* Longueur : entre 100 et 1000 mots
* Gratification : 1000€
et publication garantie de tous les textes dans un livre événement !
Et ce n’est pas la première fois que ça nous arrive, mais la deuxième en l’occurrence ! L’édition 2021 du Grand Prix de l’Histoire Drôle s’est bien passée, et nous avons publié un livre pour en témoigner. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Parce que la dérision est une chance de survie fondamentale pour l'intelligence et le discernement. Parce que les clowns aussi ont besoin de bouffer. Et parce que tant qu'à parier un peu de fric, autant le faire dans la joie et la bonne humeur !
Vous avez jusqu'au 31 décembre pour participer : avec un texte entre cent et mille mots et dix euros d'inscription.
Pour un billet de dix, vous avez la garantie de voir votre texte publié dans le livre événementiel qui saluera la clôture du prix et bien entendu, vous risquez d'empocher les mille euros de récompense si vous êtes l'heureux élu des membres du jury ! Quant aux quatre autres finalistes, le remboursement intégral de leur inscription leur fera garder le sourire, puisqu'ils se feront publier et distribuer totalement gratos à l'échelle internationale.
Le Grand Prix de l'Histoire Drôle est organisé par ses participants et son jury, en partenariat avec GA éditions.
Le Jury du concours se compose de plusieurs experts en comédie reconnus par d'autres experts qui s'y connaissent encore mieux.
Difficile de faire plus simple comme définition ! Il faut que ce soit une histoire et il faut qu'elle soit drôle.
Tout le monde sait ce qu'est une histoire : elle commence, elle continue, puis elle se termine. Et tout le monde sait quel effet ça fait d'être drôle : ça surprend, ça amuse et ça fait changer de point de vue.
Bien entendu, chacun se fait une idée différente de ce qui est drôle ou pas, mais dès qu'on se retrouve à plusieurs la tendance devient aussitôt claire, d'où l'intérêt d'un prix pour récompenser ça.
La drôlerie n'est pas seulement une qualité à l'oral, c'est aussi une qualité à l'écrit. On peut tout autant se tordre de rire en lisant qu'en écoutant un récit humoristique… Et par les temps qui courent, il devient plus fréquent de rigoler devant une feuille ou un écran que devant quelqu'un d'autre.
Où donc sont les meilleures dans toute cette avalanche d'histoires drôles qui s'écrivent tous les jours ? C'est le rôle du Grand Prix de l'Histoire Drôle d'arriver à désigner un tel degré d'excellence en récompensant financièrement ce magnifique service rendu au grand public !
La législation française est précise à ce sujet et c'est dans un cadre strictement légal que nous organisons le Grand Prix de l'Histoire Drôle.
Afin de faciliter le travail de nos candidats, voici un résumé global des limites de l'humour en France…
Il est formellement interdit de se moquer :
Quelle que soit la victimisation (physique ou morale, actuelle ou révolue, officielle ou tacite, délibérée ou involontaire, etc.) c'est déjà assez dur d'être une victime comme ça, pas la peine d'en rajouter… Mais pour qu'il y ait victime, il faut qu'il y ait agression et l'agresseur, quant à lui, mérite qu'on se moque de lui par solidarité envers la victime.
Il est donc recommandé aux participants du Grand Prix de l'Histoire Drôle de ridiculiser tous les comportements agressifs !
Cela s'appelle de la diffamation et il n'y a pas de quoi se vanter, d'autant plus que ça peut finir devant un tribunal. Il est pourtant si facile de changer le nom de quelqu'un pour en faire un personnage de comédie… Quel besoin de s'acharner sur un individu quand on peut fustiger ses valeurs ridicules avec beaucoup plus de pertinence ?
La médisance est un fait social désolant de vulgarité qui n'a pas sa place dans le cadre du Grand Prix de l'Histoire Drôle.
Comme chacun sait, il y a des imbéciles partout et ce n'est pas leur appartenance à un groupe social qui définit leur niveau de stupidité, mais leur comportement – y compris lorsqu'il est collectif.
On peut donc se moquer des gens parce qu'ils FONT quelque chose, mais en aucun cas parce qu'ils SONT quelque chose. La nuance est fondamentale !
Par exemple, une pratique religieuse est une question d'identité, tandis qu'une pratique sexuelle est une question d'activité. Il est donc interdit de ridiculiser un végétarien parce qu'il ne mange pas de viande, tandis qu'il est permis de se moquer d'un végétarien parce qu'il écrase une mouche.